La Cérémonie de Répartition - Le Carré d'Or

La Gardienne de l'école est venue vous chercher à la gare de Strangevold. Après quelques minutes de marche, elle vous laisse dans le Carré d'Or avec la formelle interdiction d'en sortir avant son retour, prévu dans trente minutes. Mais au bout d'une heure, elle n'est toujours pas là...

Comment réagit votre personnage, et quelle sera sa famille d'accueil? C'est à vous de le décider, en vous inspirant de ce topic.

Rappel : Comme stipulé dans le tableau d'affichage, vous devez jouer votre arrivée, votre attente et votre sortie du Carré d'Or en un seul message, sans jamais impliquer d'autres personnages existants que le vôtre.

Voici quatre modèles de messages de répartition correspondant aux quatre familles de Durmstrang. Ils vous serviront à cerner la psychologie générale relative à chaque famille, et à vous aider à faire votre répartition :

Carré d'Or a écrit:

La Gardienne était partit depuis plus d’une heure, maintenant, et ne semblait pas décidée à revenir. Comment pouvait-on autant leur manquer de respect ? James, qui faisait partie de la haute aristocratie, n’était pas habitué à autant d’indifférence vis à vis de sa personne. On le laissait là, parmi les bouseux, à souffrir du froid. Plus le temps passait, et plus son caractère s’assombrissait. Il écrirait à son père, et le directeur comprendrait son erreur. Oh oui, et il la regretterait même.

*Ils souhaitent nous faire mourir de froid, c’est ça ?*

Puis, bravant l’interdiction de la Gardienne, il se décida à rentrer au Château pour se réchauffer et manger un morceau. A l’instant même où il franchit la ligne, un vieux chêne s’anima sur sa gauche, et une voix grave sortit d’un grand trou qui aurait pu abriter un écureuil.

« Ta place est à Loviatar ! »

Sa répartition était achevée.

Carré d'Or a écrit:

Le froid était mordant, mais Irina ne s’en formalisait pas plus que ça. Les températures négatives, elle en avait l’habitude, et ça ne la dérangeait pas. Il en fallait bien plus que cela pour la déstabiliser. Certes, la Gardienne était en retard, mais elle finirait forcément par revenir. Elle faisait tout de même partie du personnel de Durmstrang, et il était impossible qu’elle les oublie là.

*Je suis pressée que les cours commencent…*

Puis, mentalement, elle refit l’inventaire de ses affaires pour vérifier qu’elle n’avait rien n’oublier. Un livre de cours, par exemple, aurait été un oubli impardonnable. Bien qu’elle les eut déjà consultés quelques fois. Puis, elle se posa toutes sortes de questions : vais-je me faire des amis ? Comment sont les professeurs ? Et la Gardienne revint. Elle se leva rapidement, et la suivit. Lorsqu’elle sortit du carré, un arbre lui annonça le nom de sa famille : Fenryr.

Carré d'Or a écrit:

A côté de lui, certains s’impatientaient, et d’autres réfléchissaient. Andreï, lui, ne les remarqua même pas. La beauté des lieux et l’excitation qu’elle provoquait en lui eclipsait tout le reste. Le Château était magnifique, et son parc encore plus, si c’était possible. Et que dire des lacs environnants ? Il ne savait plus où donner de la tête. En hauteur, deux écureuils jouaient dans un arbre. Au sol, un petit mulot passa entre ses jambes. Et il lui sembla déceler un mouvement à la surface de l’eau, un peu plus loin.

*Quand on pourra sortir de ce Carré d’Or, il faudra que je fasse un tour !*

Et la Gardienne revint, et il put sortir. Un arbre alentours lui cria : « Bienvenue dans la famille Oghma, mon petit ! » Seulement, il du remettre son expédition dans le parc à plus tard, car il se faisait tard. Le soleil était presque couché, et ils n’avaient pas encore mangé. Ils auraient besoin de repos, pour commencer les cours le lendemain.

Carré d'Or a écrit:

Misha resserra son écharpe autour de son coup, pour éviter d’attraper froid. Enfin, elle ne risquait pas grand chose, avec sa triple épaisseur de pulls, son épais manteau surmonté d’une cape, ses gants en cuir de dragon et son bonnet de laine. Quand elle regardait les autres qui se tortillaient sur place, elle se dit qu’elle avait eu raison de mettre tout ça. Elle s’avança vers une jeune fille qui semblait elle aussi avoir tout prévu pour ne laisser aucune chance aux températures négatives, et entama la discussion. « Par une rude journée d’hiver, un ami vaut mieux que toutes les écharpes du monde » disait sa grand-mère. Et elle n’était pas loin de penser que son aïeule avait raison.

*Elle m’a l’air sympa ! Je parlerai d’elle dans ma lettre à Maman…*

Lorsque la Gardienne les fit sortir du Carré d’Or, un vieil arbre tout rabougri lui annonça qu’elle faisait désormais partie de la famille Ishtar. Comment savait-elle qu’il s’adressait à elle, et rien qu’à elle ? Elle le savait, un point c’est tout.

*Mais qu'est-ce qu'elle fout, la Gardienne ?!*

Klaus commençait sérieusement à perdre patience. Depuis plus de trois quart d'heure maintenant qu'il attendait dehors, dans ce fichu Carré d'Or, avec les autres nouveaux arrivants à Durmstrang. Les mois de Septembre dans cette région du Nord, c'est déjà pas franchement chaud, mais là il commençait à pleuvoir, en plus ... Bien qu'emmitouflé dans un gros manteau, il ne pouvait s'empécher de grelotter.

*J'aurais du fouiller dans le bureau de maman, pour savoir en quoi consiste exactement cette répartition ...*

Finalement, n'y tenant plus, et persuadé que sa directrice de mère ne lui trouverait rien à redire, il se décida à sortir du Carré d'Or pour aller se réchauffer à l'intérieur du château, et pourquoi pas visiter un peu les lieux pendant qu'il y était ... Mais à peine eut-il fait deux pas qu'un vieux chène sur sa gauche s'anima. Sur le coup, Klaus, qui ne s'attendait vraiment pas à ça, ne put s'empécher de lacher un petit cri effrayé. L'arbre dit d'une voix grave "Loviatar", et Klaus comprit qu'il venait d'être réparti.

Ousmiekha avait regardé la Gardienne s'éloigner lentement. Laisser les élèves comme ça, au milieu de la neige, ce n'était pas anodin...

*Piouf ! Tu parles d'un test ! Nous laisser dans la neige !*

Elle regarda autour d'elle et remarqua tout de suite que plusieurs élèves grelottaient.

*Et ben voilà ! Parfait pour commencer l'année ! Ils vont tous attraper un rhume !*

Elle remarqua une jeune fille près d'elle. Elle semblait transie. Ousmiekha s'approcha d'elle et lui proposa une écharpe. Pensant qu'il fera terriblement froid, sa mère l'avait forcée à prendre deux écharpes de secours.

*Mais finalement, c'est presque comme à la maison !*

Elle reserra malgré tout son propre cache-nez et frotta doucement ses mains aux gants de laine très épaisse. De bonne nature, elle se mit tout de suite à discuter avec la jeune fille frigorifiée, et bientôt, leurs éclats de rire attirèrent un petit groupe d'élèves. Ils discutaient tous, certains frissonnant, d'autres bien au chaud. Et Ousmiekha, faisant partie de ceux là, plaisantait et discutait, gaie comme un pinçon, au milieu des autres enfants.
Elle était en train de se dire que tous ces gens étaient vraiment adorables et qu'elle était bien contente d'avoir prêter une de ses écharpes quand La Gardienne revint. Marchant au milieu des autres élèves en direction de l'école, Ousmiekha entendit une voix qui lui parlait. Elle se retourna et fit face à un immense sapin qui lui dit "Ta place est à Ishtar, mon enfant. Là où le coeur est le plus ardent des foyers." Ousmiekha sourit de toutes ses dents. Elle ne savait pourquoi, mais cette nouvelle l'emplissait de joie. Et puis ce grand sapin lui rappelait sa maison... Il n'avait parlé qu'à elle, il l'avait choisie et elle l'avait compris... Et elle savait que la vision de cet arbre plusieurs fois centenaire, dont émanait la chaleur de la vie, resterait gravée en elle pour toujours.

Pour la troisième fois en trente minutes, Odessa regarda l'heure à sa montre en argent dans un geste rageur. Cette vieille bique de gardienne n'avait pas l'air décidée à revenir. Elle grelottait sous son manteau de vison, son nez rougi par le froid lui faisait atrocement mal, et elle pouvait entendre ses cheveux geler.
*Mais dégage....*
Depuis dix minutes, une petite rousse couverte de pustules n'arrêtait pas de lui demander si elle n'avait pas vu son hibou Tolstoï.
- Ca va bien dis! Ca me fait quoi que tu l'aies perdu ton idiot d'oiseau?, cria-t-elle alors que la rousse revenait à la charge. Il a pas de chaudière cachée dans les plumes, que je sache, alors je m'en fiche, là! Tu m'assommes!
Elle enfonça sa chapka sur ses yeux et, suprêment énervée, elle décida de sortir du cercle pour rentrer au château. La Terre n'allait pas s'arrêter de tourner parce qu'elle n'écoutait ce que la vieille vache avait dit, si?
Comme elle franchissait la ligne, un très vieux chêne s'anima et lui dit d'une voix caverneuse.
- Ta place est à Loviatar!
Odessa sursauta et chercha à qui il parlait, avant de comprendre que cette attente n'avait eu pour but que de la répartir.

Ils étaient tous serrés dans ce carré. Certains s'impatientaient, d'autres étaient presque assoupis, completement transits de froid, son voisin par contre grignottait. Enfin... la neige appaisait l'esprit de Rudika. Elle aimait ça. C'était si... blanc!
Quelques autres enfants la dévisageaient, certains lui souriaient. Ou se moquaient, c'était plus probable.
Quoi qu'il en soit, elle allait passer une année loin de sa maison, dans un cadre idyllique et ce ne serait pas plus mal. L'idée de cette perspective la réjouit, et elle en sourit presque.
Elle regarda son voisin de droite, qui s'attaquait a présent à quelques chocogrenouilles.

Son regard se reporta tout naturellement sur le parc, recouvert d'un manteau blanc. Ça lui changeait tellement des usines de sa ville. Elle s'imaginait déjà vivre des aventures, explorer les moindres recoins de cette nature, toute nouvelle pour elle.

Enfin, la Gardienne montra le bout de son nez, rougit de froid. Elle se baissa machinalement pour récupérer ses affaires, et suivit les autres enfants qui sortaient du carré.

- Tu seras dans la famille Oghma ! dit d'une voix majestueuse un arbre derrière elle.

Elle ne savait pas où ça la mènerait, mais en était enchantée.

Piotr était impatient de commencer l'année. Il se sentait si excité qu'il ne ressentait même plus le froid glacial qui l'enveloppait, lui et tous les autres élèves du Carré d'Or.

Ah ! Les autres ! Piotr n'avait de cesse de regarder autour de lui pour trouver quelque personne qui lui parût sympathique. Certains semblaient ébahis du paysage, comme cette fille aux cheveux blancs comme la neige, d'autres semblaient concentrés, réfléchissant seuls dans un coin, et d'autres encore étaient sortis du Carré d'Or.

*Ils ne devraient pas sortir... Il ne fait pas si froid !*

Piotr ne pouvait certes pas ressentir le froid, etant donnés les deux pulls qu'il avait enfilés sous son manteau, surmonté d'une grande et chaude cape grise. Beaucoup avaient fait de même, d'ailleurs. Mais d'autres en revanche, n'avaient pas pensé à prendre des vêtements plus chauds.

*Bientôt, nous entrerons à Durmstrang !*

L'excitation était à son paroxysme, à tel point que Piotr ne put s'empecher d'arborer un immense sourire qu'il aimait montrer à tout le monde, car un sourire est pour lui la chose la plus réchauffante qui soit. C'était parfait s'il pouvait ainsi aider quelques élèves transis de froid en échangeant ainsi quelques sourires. Et puis, il avait promis qu'il garderait toujours le sien.

La dame revint finalement. Le coeur battant, Piotr sortit avec les autres du Carré d'Or.

"Bienvenue à Ishtar ! Hahaha !"

Etait-ce bien là un arbre qui venait de prendre la parole ? Oui, il avait bien entendu. C'était donc là que serait sa place.

*Ishtar...*

Pierre rentra la tête dans les épaules. Il faisait froid, et l’habitude l’aidait plus que le manteau en peau de lapin, taille adulte, qui se mouillait de plus en plus à force de traîner dans la neige.
Le garçon remonta la fourrure jusqu’à ses joues et souffla dans ses mains.
Il faisait rarement confiance à quelqu’un au premier coup d’œil, et jamais aux adultes. Aussi prit la résolution de désobéir dès que la gardienne ordonna de ne pas bouger.
Pierre attendit qu’un élève bien habillé fasse le premier pas, et comme il ne se passait rien, il décida de passer la ligne dorée à la première occasion.
Le second fuyard dépassa la limite, et l’orphelin lui emboîta le pas sans hésiter. Ainsi, bien qu’il ne fut ni riche ni gâté, Pierre fut ce jour là le troisième élève à désobéir.
Il se retourna et observa quelques instants les autres, les obéissants, qui restaient immobiles en claquant des dents ou faisaient connaissance comme dans un confortable salon. Il y avait aussi ceux qui regardaient autour d’eux d’un air béat ; Pierre, lui, n’avait même pas remarqué le grand chêne qui se dressait derrière lui.

LOVIATAR !

Le garçon sursauta violemment et se retourna d’un bond avant de courir sur les traces des deux autres qui l’avaient précédé, sans manquer de se morigéner mentalement pour cette marque de faiblesse, son manteau trop grand lui battant les talons.

Måns était assis au milieu du Carré d’Or. Il se frottait vigoureusement les mains, espérant que cela le réchaufferait un peu. Il observa les alentours. Le décor de variait pas trop de sa région natale, qui était aussi en Suède. Le froid, il y était habitué depuis tout petit, si bien qu'il était efficacement paré contre lui.

*Quitte à attendre, autant faire connaissance avec les autres, ce sont mes camarades !* se dit-il.
Il entama alors la discussion avec quelques enfants. Après une quarantaine de minutes, le groupe commençait à s’inquiéter … et Måns rougit comme à son habitude dans ce genre de situations. Mais muni de son optimisme naturel, il rassura les autres enfants en prenant un air gai et en racontant des histoires, ce qui eu l’effet escompté.
Enfin la dame arriva. Heureux de sortir du Carré d’Or, mais surtout heureux d’avoir pu connaître un peu mieux les autres, il suivit avec ardeur la dame.

Soudain une voix venue de nulle part à première vue s’exclama : « Tu seras donc de la famille Ishtar, qu’il en soit ainsi ! »

Rougissant soudain, Måns comprit que la répartition était terminée, l’arbre qui venait de lui parler n’en était que le porte-parole. Il en était ravi : après tout, c’est un autre moyen de se faire des amis.

Cela faisait déjà plus d'une demi-heure que la gardienne était parti. Non pas que Ienzo avait froid, mais il detestait attendre.

Regardant autour de lui, il fit un pas en avant puis un deuxième ainsi de suite jusqu'à ce qu'il arrive à la limite du carré. Il hésitait.

*Et pis zut, elle avait qu'à pas me faire attendre!*

Il franchi la limite d'un pas rapide et continua sur la route du château lorsqu'une voix cria "Loviatar". Il se retourna et fit une grimace en voyant qu'un arbre lui avait adresser la parole.

"Tant mieux!"

C'est ainsi que le jeune garçon fut réparti.

La gardienne etait deja partie depuis une demie heure et oxana n'en pouvait plus d'attendre ainsi, non pas qu'elle ne supportait pas le froid au contraire, elle etait rodée; mais elle detestait etre le avec tout ces gens qui l'entouraients.
Certain fesaient connaissance, d'autres essayaient de se rechauffer au mieux, la plupart demandait a qui voulait l'entendre "mais elle est ou la gardienne?" "mais elle fait quoi la gardienne?"

*quelle bande de pleurnichards pensa t'elle*

non, vraiment il fallait qu'elle s'en aille d'ici!
Oxana entreprit de se faufiler au travers de la meute de nouveaux eleves et sortit du carre d'or.

un arbre sur sa gauche se mit a remuer "loviator" hurla t'il, voila ce fichu teste etait termine tout cela pour entendre dire le mot leviator, peut importe a quelle famille elle appartenait, elle s'en moquait, d'ailleur elle se moquait de tout.

Sa fesai deja 20 minute que la gardienne etait partie Julie enavait marre d'attendre dans le froid en plus elle ne connaiser personnes se qui ne l'aider pas elle regarda autour d'elle

*Sa va il et asser bien se chateau*

Elle commencer a perdre vrement passiance alors elle sorti du carré d'or ou un arbre lui dit avec une grosse voix

"Bienvenue a Loviatar"

*ha enfin ces pas trop to*